Avec seulement 20% d’investissements en actions, cette stratégie ne risque pas de te donner des sueurs froides.
La stratégie «douce» ne chatouille que très légèrement tes papilles gustatives et convient à tous ceux qui ne veulent pas souscrire au credo «No risk, no fun». Le portefeuille contient en grande partie des obligations (environ 2/3), le reste se compose d’actions, de fonds immobiliers, de devises (exclusivement en CHF) et de l’or (métal précieux).
Les investissements de la stratégie douce se concentrent, avec une pondération variable, sur des secteurs économiques sélectionnés, en particulier la santé, les biens de consommation de base ainsi que l’industrie et la finance.
Les trois quarts des investissements se font ici principalement sur le terrain local, c’est-à-dire en Suisse, suivie de près par les États-Unis.
Le portefeuille comprend des «big players» tels que Nestlé, Roche, UBS ou Richemont.
La stratégie douce repose à 100% sur la monnaie locale: le franc suisse.
Des saveurs pour ton portefeuille: le ratio risque/sécurité de 40:60 de cette stratégie lui donne du goût.
Cette stratégie donne du peps à ton portefeuille, car les parts d’obligations et d’actions (entre autres Nestlé et Apple) s’équilibrent et constituent ensemble le plus gros morceau de tous les placements. Les fonds immobiliers, l’or (métal précieux) et les devises (en grande partie en CHF) apportent une touche de saveur supplémentaire.
La stratégie savoureuse investit dans un large éventail de secteurs économiques, en particulier la santé, les biens de consommation de base, la finance et l’informatique.
Les investissements sont principalement répartis entre la Suisse et les États-Unis.
De gros poissons tels que Nestlé, Roche, Apple et Microsoft évoluent dans ce portefeuille.
De nombreuses devises étrangères constituent l’un des éléments de cette stratégie, mais la plus grande partie est constituée par le franc suisse.